Racontez-moi, racontez-vous… nous écrivons ensemble.
Originaire du sud-ouest de la France, j’ai passé une grande partie de mon enfance dans le sud-est de l’Espagne. J’habite aujourd’hui dans la banlieue proche de Bordeaux.
A l’école et au collège, déjà, j’affectionnais l’expression écrite : poser des mots sur une feuille pour raconter une histoire m’apportait satisfaction et plénitude, mais je n’étais nullement conscient qu’il s’agissait d’une passion et d’une qualité affirmée. A l’époque, j’y voyais juste un goût pour le français en tant que matière d’enseignement, alors que j’étais passionné par la langue française et l’assemblage des mots qui, une fois méticuleusement articulés en toute harmonie, permettent d’exprimer exactement ce que l’on souhaite. Je trouvais ça enivrant. Peut-être que cela avait échappé à ma conscience… mais n’est-ce pas la définition de la passion ? Ce sentiment puissant qui dominerait le mental.
C’est à l’âge adulte que j’ai accueilli ma passion pour l’écriture, et le besoin de l’assouvir. J’ai alors commencé à écrire des nouvelles. J’ai également commencé à écrire pour ma famille et mes amis ; je n’ai jamais cessé de le faire depuis lors. J’aime à écrire pour les autres ce qu'ils parviennent à peine à exprimer, j’aime à retranscrire ce qu’ils pensent… Je me nourris de leur satisfaction, tout comme d’entendre que c'est exactement ce qu'ils auraient voulu dire… ou plutôt ce qu'ils auraient voulu écrire. Je me sers de leurs idées, de leurs mots, de leurs sentiments, je me connecte au narrateur. Dans mon cas, cette faculté d’écoute est innée, c’est ce que j’appelle l’empathie et la capacité de m’identifier à autrui dans ce qu’il ressent. Plus encore, je sais installer un climat de confiance avec le narrateur.
Alors, racontez-moi, racontez-vous… nous écrivons ensemble.
Originaire du sud-ouest de la France, j’ai passé une grande partie de mon enfance dans le sud-est de l’Espagne. J’habite aujourd’hui dans la banlieue proche de Bordeaux.
A l’école et au collège, déjà, j’affectionnais l’expression écrite : poser des mots sur une feuille pour raconter une histoire m’apportait satisfaction et plénitude, mais je n’étais nullement conscient qu’il s’agissait d’une passion et d’une qualité affirmée. A l’époque, j’y voyais juste un goût pour le français en tant que matière d’enseignement, alors que j’étais passionné par la langue française et l’assemblage des mots qui, une fois méticuleusement articulés en toute harmonie, permettent d’exprimer exactement ce que l’on souhaite. Je trouvais ça enivrant. Peut-être que cela avait échappé à ma conscience… mais n’est-ce pas la définition de la passion ? Ce sentiment puissant qui dominerait le mental.
C’est à l’âge adulte que j’ai accueilli ma passion pour l’écriture, et le besoin de l’assouvir. J’ai alors commencé à écrire des nouvelles. J’ai également commencé à écrire pour ma famille et mes amis ; je n’ai jamais cessé de le faire depuis lors. J’aime à écrire pour les autres ce qu'ils parviennent à peine à exprimer, j’aime à retranscrire ce qu’ils pensent… Je me nourris de leur satisfaction, tout comme d’entendre que c'est exactement ce qu'ils auraient voulu dire… ou plutôt ce qu'ils auraient voulu écrire. Je me sers de leurs idées, de leurs mots, de leurs sentiments, je me connecte au narrateur. Dans mon cas, cette faculté d’écoute est innée, c’est ce que j’appelle l’empathie et la capacité de m’identifier à autrui dans ce qu’il ressent. Plus encore, je sais installer un climat de confiance avec le narrateur.
Alors, racontez-moi, racontez-vous… nous écrivons ensemble.