Écrire son histoire, c’est bien sûr laisser une trace de son passage, c’est raconter, c’est témoigner, c’est offrir un cadeau à sa descendance… Mais ça, même si ç’est vrai, c’est ce que le cerveau commande de dire afin de fournir une explication logique, crédible, acceptable, à l’entourage voire à soi-même. L’inconscient, lui, ange gardien bienveillant, plus subtil, plus clairvoyant, nous laissera nous accommoder de ces réponses, mais nous guidera, alors motivé, l’air de rien, par des raisons plus profondes, plus authentiques, plus vraies encore.
Peut-être avez-vous déjà éprouvé le besoin de comprendre ce qui vous a poussé à arrêter tel choix dans le passé… S’il était à refaire, vous referiez peut-être ce chemin… Ou si une blessure enfouie niche quelque part en vous comme un rongeur qui hiberne à la saison froide, peut-être le temps est-il venu de le réveiller, de lui demander des explications — oui, on peut s’expliquer avec un rongeur, tous les enfants savent cela — et solder les comptes permet toujours de se libérer.
Écrire ses mémoires, c’est alors comme une couvaison. Si, par la suite du travail d’incubation, la coquille de l’oeuf se brise par des forces venues de l’intérieur, alors, c’est le renouveau de la vie.
Racontez-moi vos mémoires, je les écris.
J’écoute sans juger. La confiance, nécessaire, s’installe, car si tout peut-être dit, tout n’est peut-être pas à écrire. J’y veille.
Je vous guide, bienveillant. Je vous questionne. Je vous montre des portes que vous décidez de pousser ou pas.
Ensemble, bavardant, nous parcourons votre chemin.
Pour me connaître un peu mieux :
http://www.lecrivain-porteplumes.fr
Un ouvrage publié : « L’Accompagnatrice » aux éditions Édilivre.
Travaux de relecture/corrections : sur le plan technique j’ai obtenu 977 au Certificat Voltaire (code de vérification sur www.certificat-voltaire.fr : KFFVFR) et je travaille avec le logiciel Antidote.
Peut-être avez-vous déjà éprouvé le besoin de comprendre ce qui vous a poussé à arrêter tel choix dans le passé… S’il était à refaire, vous referiez peut-être ce chemin… Ou si une blessure enfouie niche quelque part en vous comme un rongeur qui hiberne à la saison froide, peut-être le temps est-il venu de le réveiller, de lui demander des explications — oui, on peut s’expliquer avec un rongeur, tous les enfants savent cela — et solder les comptes permet toujours de se libérer.
Écrire ses mémoires, c’est alors comme une couvaison. Si, par la suite du travail d’incubation, la coquille de l’oeuf se brise par des forces venues de l’intérieur, alors, c’est le renouveau de la vie.
Racontez-moi vos mémoires, je les écris.
J’écoute sans juger. La confiance, nécessaire, s’installe, car si tout peut-être dit, tout n’est peut-être pas à écrire. J’y veille.
Je vous guide, bienveillant. Je vous questionne. Je vous montre des portes que vous décidez de pousser ou pas.
Ensemble, bavardant, nous parcourons votre chemin.
Pour me connaître un peu mieux :
http://www.lecrivain-porteplumes.fr
Un ouvrage publié : « L’Accompagnatrice » aux éditions Édilivre.
Travaux de relecture/corrections : sur le plan technique j’ai obtenu 977 au Certificat Voltaire (code de vérification sur www.certificat-voltaire.fr : KFFVFR) et je travaille avec le logiciel Antidote.