Je suis passionnée par les mots. J’ai voulu devenir écrivain, mais on m’a dit que ce n’était pas un vrai métier. J’ai alors renoncé à mon rêve et j’ai fait des études d’histoire-géographie. J’ai même arrêté d’écrire.
Finalement, c’était plus fort que moi, j’avais besoin d’écrire.
Pendant l’épreuve du CAPES, j’ai rapidement rédigé ma dissertation, puis j’ai utilisé les feuilles de brouillon pour continuer mon roman. J’étais consciente qu’écrire un best-seller n’allait pas être facile mais il y avait bien d’autres moyens de vivre de sa plume.
J’ai découvert le métier de biographe familial grâce à Guillaume Moingeon. Je me suis lancée. J’ai créé mon entreprise.
J’en écrit plusieurs biographies et cela m’a plu. Mes clients étaient contents de leur livre.
Pourtant, je suis allée explorer d’autres horizons. J’ai écrit des récits de rencontre, de mariage, des cérémonies laïques et quand mon fils est né, j’ai inventé des histoires pour enfants. J’ai publié plusieurs livres.
J’adore inventer des histoires, surtout des contes de Noël, laisser libre cours à mon imagination. Je m’amuse. J’ai quand même toujours cette envie d’écrire pour les gens, de les aider à raconter leur histoire, partager leurs souvenirs. Je veux mettre à leur service cette facilité que j’ai à trouver les mots justes.
J’ai hésité à relancer mon activité de biographe jusqu’à ce que je sois invitée à prendre le thé avec des personnes âgées dans une maison de retraite. L’animatrice voudrait créer un journal avec tous leurs précieux souvenirs. Je les ai écoutées raconter des petits bouts de leur histoire et j’ai pris des notes. J’ai passé un merveilleux moment. Je me sentais à ma place.
Il s’est alors passé quelque chose de magique. J’ai compris que j’étais faite pour exercer le métier de biographe. La petite flamme qui vivotait au fond de moi brûlait à nouveau. J’ai décidé de vivre mon rêve pleinement.
Je ne me relance dans cette belle aventure. J’ai donc rejoint le groupe des NPI.
Finalement, c’était plus fort que moi, j’avais besoin d’écrire.
Pendant l’épreuve du CAPES, j’ai rapidement rédigé ma dissertation, puis j’ai utilisé les feuilles de brouillon pour continuer mon roman. J’étais consciente qu’écrire un best-seller n’allait pas être facile mais il y avait bien d’autres moyens de vivre de sa plume.
J’ai découvert le métier de biographe familial grâce à Guillaume Moingeon. Je me suis lancée. J’ai créé mon entreprise.
J’en écrit plusieurs biographies et cela m’a plu. Mes clients étaient contents de leur livre.
Pourtant, je suis allée explorer d’autres horizons. J’ai écrit des récits de rencontre, de mariage, des cérémonies laïques et quand mon fils est né, j’ai inventé des histoires pour enfants. J’ai publié plusieurs livres.
J’adore inventer des histoires, surtout des contes de Noël, laisser libre cours à mon imagination. Je m’amuse. J’ai quand même toujours cette envie d’écrire pour les gens, de les aider à raconter leur histoire, partager leurs souvenirs. Je veux mettre à leur service cette facilité que j’ai à trouver les mots justes.
J’ai hésité à relancer mon activité de biographe jusqu’à ce que je sois invitée à prendre le thé avec des personnes âgées dans une maison de retraite. L’animatrice voudrait créer un journal avec tous leurs précieux souvenirs. Je les ai écoutées raconter des petits bouts de leur histoire et j’ai pris des notes. J’ai passé un merveilleux moment. Je me sentais à ma place.
Il s’est alors passé quelque chose de magique. J’ai compris que j’étais faite pour exercer le métier de biographe. La petite flamme qui vivotait au fond de moi brûlait à nouveau. J’ai décidé de vivre mon rêve pleinement.
Je ne me relance dans cette belle aventure. J’ai donc rejoint le groupe des NPI.